SYMPOSIUM PATRIMOINE HYDRAULIQUE, CANAUX ET IRRIGATION GRAVITAIRE
Les enjeux de l'eau et de l'irrigation en Méditerrannée
28 - 29 - 30 Avril 2025
Nice - Saint-Martin-Vésubie

Une rencontre internationale entre universitaires et praticiens des pays du pourtour méditerranéen autour de l'avenir du patrimoine culturel immatériel de l'irrigation traditionnelle et ses enjeux économiques, écologiques, patrimoniaux et sociales des communautés méditerranéennes. Ces trois journées d'échanges et de terrain sont organisées par le Laboratoire Interdisciplinaire Récits, Cultures et Sociétés (LIRCES) UPR 3159, Université Côte d'Azur et l'association Arche de Beyla. 

Dates 

28 - 29 - 30 avril 2025

Lieux 

Maison des Sciences de l’Hommes et de la Société Sud-Est (MSHS Sud-Est, Unité d’Appui et de Recherche CNRS (UAR3566), Université Côte d’Azur, Nice) et Saint Martin Vésubie (sortie terrain le 29 avril 2025).

Résumé

image1 Les canaux d’irrigation traditionnelle du bassin méditerranéen se caractérisent par leur large panoplie de savoirs et savoir-faire ainsi que que par leur évolution constante. C’est à ce double titre qu’ils ont été inscrits dans l’inventaire national le 20 juin 2024 comme patrimoine culturel immatériel.

Le début du XXIe siècle est marqué par un changement climatique global qui affecte milieux alpins et méditerranéens. La perte élevée de la biodiversité et des ressources économiques sont les conséquences prévisibles pour lesdits milieux. Les vallées de la Roya, de la Tinée et de la Vésubie (Alpes maritimes, France) ont été les premiers témoins des conséquences du changement face à la violence de la tempête Alex (2 octobre 2020). Depuis bien d’autres territoires méditerranéens ont connu à leur tour des événements météorologiques violents.

Chercheurs et praticiens mobilisent leurs savoirs et savoir-faire et misent sur des partenariats collaboratifs entre des systèmes de savoirs traditionnellement séparés mais pourtant complémentaires, comme le sont les savoirs universitaires et les savoirs autochtones, pour apporter des réponses innovantes adaptées aux milieux montagneux du bassin méditerranéen.

En ce XXIe siècle, les canaux d’irrigation traditionnelle sont à nouveau sollicités. Certaines de leurs dimensions devront sans doute être réinventées dans un souci constant d’équilibre entre ressources et prélèvement, entre société et environnement pour maintenir la qualité de vie de la société. Le symposium “Patrimoine hydraulique, canaux et Irrigation gravitaire. Les enjeux de l’eau et de l’irrigation en Méditerranée” a pour ambition de contribuer à cette évolution en appelant scientifiques et praticiens autochtones à croiser leurs expertises respectives pour développer un outil capable de contribuer à la résilience du territoire méditerranéen et à tous ses habitants vivants.

Objectifs

Les objectifs poursuivis par le symposium ne pourront être atteints que de manière collaborative entre les chercheurs d’une part et les institutions et praticiens d’autre part :

  1. Faire émerger des nouveaux leviers d’actions face à l’urgence des enjeux du changement climatique en conférant aux canaux d’irrigation traditionnelle à nouveau un rôle de moteur pour promouvoir la résilience des territoires en termes de biodiversité et de société. Ce symposium propose d’aller plus loin qu’une simple comparaison entre avant et après, plus loin que le simple témoignage de l’histoire d’un patrimoine culturel immatériel et de sa commémoration
  2. Proposer des solutions nouvelles propres aux territoires méditerranéens dans une approche centrée sur le territoire en croisant les savoirs et les visions des chercheurs experts internationaux et des praticiens afin qu’ils puissent ensembles, comme l’Histoire nous le montre, faire progresser la connaissance des systèmes hydrauliques dans une perspective trans-disciplinaire et holistique pour identifier des pratiques vertueuses dans le cadre du développement durable tel qu’il est préconisé par les ODD (6 ; 13 ; 15)
  3. Mettre les co-constructions intellectuelles, scientifiques et pratiques ayant émergé tout au long des échanges du symposium à la disposition de toute personne en charge de manière directe ou indirecte de la gestion de la ressource Eau que ce soit par son activité économique, par son rôle publique, par sa mission de conservation ou de manière générale toute personne qui entretient des relations d’usages avec l’eau et les réseaux d’irrigation traditionnelle.
  4. Poser le socle d’un réseau, réelle interface du milieu scientifique, institutionnel et pratique, dont l’objectif principal est l’émergence d’une solidarité méditerranéenne autour du recours aux canaux d’irrigation traditionnelle en vue de développer ensemble et ponctuellement des stratégies d’adaptation et de changements de comportements dans le cadre de la gestion de l’eau raisonnée et de la préservation des patrimoines méditerranéens uniques que ce soit d’ordre naturel, culturel, économique ou alimentaire. La charte co-imaginée lors de la journée de terrain sera son symbole ;
  5. Lancer une démarche de réflexion collective innovante et unique dans le cadre d’une série de symposium autour de la Méditerranée. Ce premier symposium organisé en France sur le territoire des Alpes maritimes sera suivi par ceux organisés respectivement par l’université de Grenade (Espagne, 2026), par le Centre d'études en archéologie, arts et sciences du patrimoine de l'Université de l’Algarve (Portugal, 2027) et par les universités au Maroc (2028).

Contexte

image1 La maîtrise de l’eau et des savoirs techniques pour l’édification des aménagements hydrauliques a contribué à l’émergence de plusieurs civilisations dans l’espace méditerranéen et à leur survie face aux aléas climaiques et démographiques. Les premiers canaux dateraient de l’époque néolithique. La “civilisation des eaux cachées" (Al-Kharaji, 1973) ancra la pratique de l’irrigation traditionnelle sur de nombreux territoires (comme en Espagne musulmane) en combinant savoirs anciens et savoirs nouveaux apportées par le développement des sciences (Ftaïta, 2010).  Au nord du bassin méditerranéen, le regain de l’irrigation est le résultat de l’essor des monastères des Cisterciens qui préconisaient une culture de l’irrigation et une économie locale autonome en construisant des moulins, des forges et des scieries sur ces mêmes canaux. La constructon des grands canaux de Briançon (Guillestre), des Bisses de Ausseberg (Valais, Suisse) et des canaux de Vinschgau (Tyrol du sud, Italie) a constiitué une réponse à l'essor démographique important, aux températures en augmentation et au besoin alimentaire accru qui sévirent en Europe entre le XIIe et XIVe siècles. 

En maîtrisant les ressources hydrauliques superficielles ou souterraines, en amenant l’eau de très loin par des canaux construits et régulièrement réhabilités, les communautés méditérannéennes en montagnes comme en plaines ont façonné le paysage de leur terroir. Elles ont fait preuve de capacités adaptatives et innovatrices pour faire face à la sécheresse, aux innondatons et aux évolutions de la société, tout en assurant une « juste » répartition de la ressource.

Les canaux d’irrigation traditionnelle du bassin méditerranéen se caractérisent d’une part, par une large panoplie de savoirs et savoir-faire dans de nombreux domaines et d’autre part, par leur évolution continuelle. C’est à ce double titre que les canaux d’irrigation traditionnelle ont été inscrits comme patrimoine culturel immatériel dans l’inventaire national le 20 juin 2024.

Ce début du XXIe siècle est marqué par un changement climatique global qui affecte bien plus intensément les milieux méditerranéens et alpins ce qui provoquera à moyen terme une perte élevée de la biodiversité et des ressources économiques desdits milieux. Les vallées de la Roya, de la Tinée et de la Vésubie (Alpes maritimes, France) ont été les premiers témoins des conséquences du changement face à la violence de la tempête Alex (2 octobre 2020). Aujourd’hui, il est malheureusement possible d’écrire que ce drame a sonné le glas d’une époque prospère et insouciante non seulement pour les habitants de ces vallées mais pour bien d’autres territoires méditerranéens qui ont connu à leur tour des événements météorologiques violents.

Les habitants du pourtour méditerranéen sont conscients que le changement climatique a lieu et qu’il affectera de plus en plus leur vie quotidienne. Malgré ce constat et peut-être en raison de ce constat, ces mêmes habitants expriment leur désir de trouver la ressource nécessaire pour s’accorder à la mutation de leur milieu, de ne pas être des victimes mais des acteurs dans la promotion de la résilience de leur territoire. Pour cela, entre autres, ils mobilisent leurs savoirs et savoir-faire sur leur terre et sa variabilité et misent sur des partenariats collaboratifs entre des systèmes de savoirs traditionnellement séparés mais pourtant complémentaires comme le sont les savoirs universitaires et les savoirs autochtones pour apporter des réponses nouvelles et adaptées aux milieux montagneux du bassin méditerranéen.

En ce XXIe siècle, les canaux d’irrigation traditionnelle sont à nouveau sollicités pour présenter une réponse potentielle aux défis que nos sociétés contemporaines rencontrent. Pour cela, certaines de leurs dimensions devront sans doute être réinventées dans un souci constant d’équilibre entre ressources et prélèvement, entre société et environnement pour maintenir la qualité de vie. Le symposium “Patrimoine hydraulique, canaux et Irrigation gravitaire. Les enjeux de l’eau et de l’irrigation en Méditerranée” est fruit de ce cadre.

Appel à communications

L’appel à communication est ouvert à tous les sujets en lien avec les quatre axes dégagés.

Les thématiques

Ce symposium a pour ambition de croiser les conclusions issues des diverses études et recherches menées autour de 4 axes principaux :

  • AXE 1 - Autour des notions de patrimoine y compris le patrimoine naturel / eau / ressources naturelles et tout particulièrement la notion de paysage culturel et sa place dans la revendication patrimoniale et dans cette transition entre milieu irrigué et milieu urbain.
  • AXE 2 -  Autour des savoirs et savoir-faire populaires et de leur durabilité.
  • AXE 3 - Autour de l’agro-écologie et des services éco-systémiques.
  • AXE 4 - Autour de la gestion collective, de la gouvernance de l’eau et des cadres juridiques : gestion étatique, associative et communautaire. Usage de l’eau.

Comité d’organisation

  • Ftaïta Toufik (anthropologue, maître de conférences, LIRCES EA 3159, Université Côte d’Azur)
  • Gili Eric (historien, Association Montagne et Patrimoine AMONT, chercheur associé CMMC EA 1193, Université Côte d’Azur)
  • LACOSTE Romain, Directeur Technique Parc du Mercantour Section Vésubie
  • Neu Mirjam (consultante en anthropozoologie - référent Alpes maritimes du réseau du patrimoine d’irrigation traditionnelle )

Comité scientifique

  • ASPE Chantal - MCF-HDR – Aix Marseille Université - LPED- France
  • BATISTA Desiderio - PR – Université Algarve - Portugal
  • BELYAZID Samira - PR Université de Moncton - Canada
  • BERTINI Marie-Joseph - PR – Université Côte d’Azur – LIRCES UPR 3159 - Nice - France
  • CIVANTOS Jose Maria Martin - PR – Université de Grenade - Espagne
  • COMINELLI Francesca - MCF - Université Paris1 Panthéon - Sorbonne - Paris - France
  • CONDEVAUX Aurélie - MCF - Université Paris1 Panthéon - Sorbonne - Paris - France 
  • FTAÏTA Toufik - MCF – Université Côte d’Azur – LIRCES UPR 3159 - Nice - France
  • FURIÓ Toni - PR- Université de Valence- Espagne
  • GILI Éric - PRCE- Docteur en Histoire – CMMC UPR 1193
  • JACQUÉ Marie - MCF-HDR – Aix Marseille Université - LPED - France
  • KABIRI Lahcen - PR – Université Moulay Ismail - Maroc
  • LEGROURI Ahmed - PR – Université Al Akhawayn - Maroc
  • MARTINEZ SANMARTIN Luis Pablo - Chef de service Patrimoine – Valence - Espagne
  • MEERSMAN Jimmy - MCF - Université de Lorraine I.R.E.N.E.E - - Metz - France
  • ROMAGNY Bruno - DR - IRD - France
  • RUF Thierry  - DR - IRD - France

Argumentaire et pistes de réflexions

Plusieurs pistes de réflexions fondées sur les conclusions apportées par des confrères sont proposées dans le document joint que nous vous invitons à télécharger. Elles ne sont nullement exhaustives et ont pour unique prétention d'encourager la production de communications innovantes comme réponse à ces questionnements. Veuillez consulter le PDF joint... 

Modalités de soumissions des communications

Première étape : proposer une communication

Les auteurs pouvant répondre à l'appel sont :

  • les chercheurs toutes disciplines confondues :
  • les doctorants ;
  • les communautés d’arrosants du Mercantour, des pays du pourtour méditerranéen participants au symposium ainsi que des pays dont les canaux d’irrigation ont été inscrits sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel UNESCO ;
  • Les associations et institutions dont les activités sont en lien avec les axes de réflexion proposés dans le cadre de ce symposium :

Un unique protocole quelque soit la nature de la communication souhaitée par les auteurs (présentation orale ou poster scientifique) soit un résumé d’un maximum de 400 mots (en français). Il pourra être complété par une courte bibliographie indicative exclue du total des mots. 

Issu d’une recherche originale et inédite, le résumé devra respecter les règles habituelles des publications en sciences humaines et s’inscrire dans l’un des axes proposés qui devra être précisé en début de résumé. Cependant, il est laissé toute liberté quant au choix de la problématique. Cette dernière peut même être de nature différente de celles listées dans l’argumentaire à condition qu’elle puisse intégrer l’axe choisi. 

La langue privilégiée des communications est la langue française. Néanmoins, une assistance à la traduction est possible notamment avec l'aide du comité organisationnel pour des langues comme l'anglais, l'allemand, l'espagnol, le marocain et le portugais. A ce sujet, contactez nous s'il vous plait par email ici

La soumission devra être réalisée via le formulaire mis à disposition dans la rubrique soumettre une communication et au plus tard le 30/01/2025 à minuit (l'heure de l'envoi du formulaire par email faisant foi). 

Les auteurs de communications sont avertis par courriel de l’acceptation ou du refus de leur(s) communication(s) le 1er mars 2025. 

Deuxième étape: soumettre la communication finale  

Option présentation orale (15 minutes ) : 

Une fois retenue par le comité scientifique, la proposition devra faire l’objet d’une note préliminaire (autour des 3 000 mots) et d’une présentation Powerpoint.

Aspect des diapositives : 

Les diapositives seront transmises sous forme de vidéoprojection.

Pour plus de clarté et d'homogénéité, nous vous demandons de bien vouloir respecter les consignes suivantes :

  • Taille de la police : >36 pt pour les titre ; >24 pt pour les textes importants ; taille minimum 18 pt 
  • Police de type Sérif (Arial, Helvética, etc ...) 
  • Format paysage ;
  • Présentation linéaire et structurée répartie en temps comme suit : objectif (10%) ; méthodes et résultats (80%) ; conclusion (10%) 
  • Durée de la présentation : prévoir 15 minutes 
Soumission : 

Le texte et le diaporama définitifs devront être remis au plus tard le 24 avril 2025 avant minuit (l'heure de l'envoi par email faisant foi).

Option poster scientifique :
Format :

Les posters scientifiques auront une orientation portrait et leur taille réelle sera de 90 x 80 cm.

Ils devront être transmis sous format A4 et conçus dans une version Powerpoint ou Keynote

L’organisation du contenu :

Les posters seront composés de 8 rubriques organisées sous forme de colonne de gauche à droite et idéalement présentées dans des cadres :

  • pour la communication des recherches ; titre, auteur, introduction, matériel et méthodes, développement, conclusion, remerciements, ‘en savoir plus” ;
  • Pour toute autre communication : titre, auteur, problématique, introduction, contexte/présentation, solution/situation actuelle, conclusion, ‘en savoir plus” ;
Les polices de texte :

Un maximum de deux polices différentes par poster scientifique est admis.

  • Pour les titres : une police Sans Sérif en gras et une seule majuscule en début de phrase (taille 33 pt)
  • Pour les titres de rubrique : une police Sans Sérif en gras et une seule majuscule en début de phrase (taille 27 pt pour un niveau 2, 22 pt pour un niveau 3)
  • Pour le corps de texte : une police Sérif (taille 18 pt)
Les images et graphiques :

La définition minimale des images doit être de 300 dpi. Leur format doit être soit TIFF, soit PNG. Il est obligatoire de préciser l’autorisation de son auteur.

Les graphes doivent être le plus simples possibles et sans légende. Ils doivent être compréhensibles à simple vue et au moins à 1m50 de distance.

Le nombre de caractères :

1500 caractères par poster et un maximum de 5 illustrations.

Cas des communications orales non-retenues :  :

Les communications orales soumises mais non-retenues par le comité scientifique pourront néanmoins faire l’objet d’une présentation sous forme de poster.

Dans ce dernier cas, les auteurs recevront une notification préalable les informant de cette possibilité de communiquer leur recherche.

Soumission : 

Les maquettes définitives devront être remise au 28 mars 2025 avant minuit (l'heure de l'envoi par email faisant foi).

Troisième étape : après le symposium 

A l’issue du symposium, le/la communicant(e) s’engage à livrer la version finalisée de son article (maximum de 10 pages A4, bibliographie et illustrations comprises) en vue de sa publication dans les Actes du symposium. De même, il accepte implicitement la transmission de sa présentation aux participants ("supports"). 

Les dates butoir à retenir 

23 décembre 2024 : ouverture de l'appel à communicaton 

30 janvier 2025 : clôture des soumission dans le cadre de l'appel à communications

1er mars 2025 : notifiaction individuelle par email de la décision des membres du comité scientifique 

28 mars 2025 : soumission des maquettes définitives des posters scientifiques 

24 avril 2025 : soumission des supports des communications orales 

Soumettre une communication

Nous vous remercions d'avance de nous faire parvenir vos proprositons de communication dans les conditions explicitées sur ce site. A défaut, en raison du grand nombre de propositons, nous ne serons pas en mesure de les traiter comme elles le méritent.

Un formulaire est mis à votre disposition ci-contre. Il est essentiel que votre identification soit la plus détaillée possible. De même, nous vous demandons de bien vérifier toutes les données car nous ne pourrrons être tenus comme responsables en cas d'impossibilité de vous contacter pour erreur dans les données. 

Date limite : 30 janvier 2025

RGPD

Les informations personnelles collectées dans ce formulaire de contact sont destinées à l'usage exclusif du Comité d'Organisation et ne sont pas divulguées à des tiers. Elle sont destinées au traitement de votre demande et seront conservées pendant 8 mois après la date du symposium.

Vous disposez d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données vous concernant (Loi "Informatique et Libertés" du 6 janvier 1978 modifiée). Pour toute demande, adressez-vous au contact ci-dessous.

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